Alors que la préservation de la ressource en eau devient un enjeu majeur pour l’ensemble de la société, la FEBEA (Fédération des Entreprises de la Beauté) et ses adhérents accompagnent les Français dans l’adoption de gestes simples et efficaces, permettant de réduire leur consommation d’eau au quotidien, dans la salle de bain.
Dans la continuité de son engagement pour la sobriété énergétique, la FEBEA lance cet été une campagne de communication digitale, dédiée à la sobriété hydrique. Cette initiative vise à sensibiliser le grand public à l’importance de préserver l’eau, en valorisant des gestes accessibles à tous.
Dans la continuité de son engagement pour la sobriété énergétique, la FEBEA lance cet été une campagne de communication digitale, dédiée à la sobriété hydrique. Cette initiative vise à sensibiliser le grand public à l’importance de préserver l’eau, en valorisant des gestes accessibles à tous.
« #GOUTTEQUEGOUTTE » : UNE CAMPAGNE POUR ENCOURAGER LES GESTES ÉCONOMES EN EAU DANS LA SALLE DE BAIN
La campagne « #gouttequegoutte » met en lumière des écogestes concrets à adopter dans la salle de bain, afin de réduire la consommation d’eau sans renoncer au bien-être et à l’efficacité de sa routine beauté. Ces gestes, validés par les professionnels du secteur cosmétique, sont autant d’actions simples à intégrer dans son quotidien.
QUELQUES EXEMPLES DE GESTES POUR ÉCONOMISER L’EAU DANS SA SALLE DE BAIN :
- Fermer le robinet pendant le brossage des dents, le lavage des mains ou le rasage pour éviter le gaspillage
→ un robinet ouvert = 12 litres d’eau gaspillés en une seule minute - Réduire la durée de la douche et couper l’eau pendant qu’on se savonne ou qu’on se shampooine.
→ une douche de 15 minutes consomme en moyenne 100 litres d’eau. En réduisant le temps de tes douches, tu économises environ 35 litres chaque jour - Installer des économiseurs d’eau (mousseur ou douchette économe) sur la robinetterie pour limiter le débit sans perte de confort.
→ un mousseur mélange de minuscules bulles d’air dans l’eau qui coule, ce qui réduit le débit de 30 à 50 %, sans rien changer au confort.
→ une douchette économe permet jusqu’à 60 % d’économie d’eau - Privilégier les produits sans rinçage pour limiter l’utilisation d’eau courante pour le nettoyage de la peau ou des cheveux, par exemple avec du shampoing sec.
→ une routine express permet d’économiser l’eau nécessaire au rinçage, et cela peut représenter des litres d’eau
UNE MOBILISATION COLLECTIVE POUR PRÉSERVER LA RESSOURCE
« Le secteur cosmétique est engagé de longue date pour promouvoir des pratiques responsables. Cette nouvelle campagne s’inscrit dans une démarche positive et pédagogique, qui valorise les bénéfices des gestes économes en eau. Prendre soin de soi tout en préservant la planète, c’est possible grâce à des habitudes simples à adopter dans la salle de bain » souligne Emmanuel Guichard, Directeur Délégué de la FEBEA.
La campagne s’adresse à l’ensemble des consommateurs, et s’appuie sur la mobilisation des entreprises du secteur pour diffuser largement les messages et accompagner le changement de comportement. Elle s’inscrit dans la continuité des actions menées par la FEBEA en faveur de la transition écologique, telles que la campagne sur la sobriété énergétique et les initiatives pour le tri sélectif dans la salle de bain.
LE SECTEUR COSMÉTIQUE ENGAGÉ POUR LA PRÉSERVATION DE L’EAUAu-delà de la sensibilisation du grand public, le secteur cosmétique se mobilise activement pour réduire son empreinte hydrique. La FEBEA a ainsi publié le « Guide sobriété hydrique : enjeux et bonnes pratiques du secteur cosmétique », fruit d’un travail collaboratif entre ses adhérents et de nombreuses parties prenantes. Ce guide propose des solutions concrètes pour réduire la consommation d’eau à toutes les étapes de la chaîne de valeur et sert de référence pour accompagner les entreprises, de toutes tailles, dans leur démarche de transition. Dans la continuité du Plan Eau 2023, la FEBEA a également lancé un plan de sobriété hydrique sectoriel. Ce plan dresse un état des lieux des usages et des rejets d’eau dans la filière, valorise les efforts déjà réalisés, identifie les freins et les leviers pour aller plus loin, et trace des perspectives pour 2030 et au-delà, en lien avec les objectifs nationaux de réduction des prélèvements et des pollutions hydriques. |
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